La pression retombe après un mois de folie à remonter la Taunus et filer un coup de main a Franck pour finir sa Capri, un mois à courir partout, a fabriquer des pièces sur mesure (ou pas) a passer des coup fil aux copains « putain ! je comprend pas ça marché avant pourquoi ça marche plus ? t’as pas une idée ? » à se dire « ça je le change ou je le remonte ? il a pas l’air si usée que ça de toute façon si je le commande je l’aurais jamais a temps » et finalement le Big Day et arrivé,
18h30 les premier copains Bertrand, Didier, Éric & leurs orchestre son arrivé des le vendredi soir ainsi que les petits nouveaux avec leur fantastique Capri Parana. Un BBQ + Bud, coucher minuit, réveil 6h30 on charge la servante et ont part faire le plein des avions puis direction ladoux.
Sauf que ̶c̶e̶s̶ ̶b̶o̶n̶ ̶a̶ ̶r̶i̶e̶n̶ ̶d̶e̶ ̶p̶a̶r̶i̶s̶i̶e̶n̶s̶ nos amis d’iles de France on passé la vitesse « matrix bullet time » et on arrive a la bourre pour le briefing déjà bien entamé par notre vicieux président. A peine le temps de se faire charrier et le plateau vert part et je peux admirer Elise au volant de sa Fiesta Superfestival la voiture la plus Quick & Dirty du SCCT pendant au moins deux minutes, avant qu’elle décide de faire du off-road…
Plateau rouge ! contact, pression d’huile Ok, et en moins de deux je suis sur le circuit et la Taunus gueule comme une poissonnière de Ménilmontant ! pour flatter mon ego je double Bertrand dans sa BMW 635 CSI qui semble rouler avec le pied sur le frein, en vrai il faisait chauffer ses pneus et fini par me mettre deux tours. Ma voiture se comporte super bien le moteur tourne à merveille et la matinée se passe dans une bonne ambiance.
14h, après une pizza au gaperon,un coup d’eau du robinet on attaque le gros morceau : la séance annuelle de motobineuse. Et pour ceux qui me connaisse la motoculture ça me connait, et pour retourner un terrain efficacement il faut croiser les passes, donc acte ! J’enfile mon costume de Bo Duke et je grimpe dans ma lil’general lee, un petit tour pour se remettre dans le bain et j’attaque les travers un doigt posé sur mon dixiehorn. En pur produit des année 80 j’ai toujours rêvé de faire ça !! et j’en ai profité !! l’après midi alterne donc entre « putain ! qu’est ce que je suis bon ! » et « je suis tellement passer par la que je pique le boulot des sangliers »
A 17h, fini de jouer je vais m’excuser au prés du jardinier et ont plie les gaules. Re-BBQ a l’atelier mais on remplace la Bud par de la Duvel a cause de la gueule fine de notre président bien aimé
A1h du matin on clôt un week-end court mais intense qui nous laisse fatiguer mais heureux !