oldnick

la DS 19 "cabriolet" peut-être ?

par curiosité je jette un oeil, et tombe sur cette annonce d'une fefe presentée comme en fibre mais qui a tous les stigmates d'une caisse acier... https://www.woowmotors.com/fr/car/1976-ferrari-308-gtb-vetroresina

V6 PRV sur une telle caisse, quel sacrilège ! même sur les XM un moteur de camion était inapproprié...

je l'ai déjà vue passer en vente sur ce site (voici quelques mois?) - curieusement ces autos me semblent rester décotées par rapport à d'autres "petites sportives" de la même époque mais en tôle... la mécanique demande à être assemblée en fonction de ses spécificités, mais si c'est fait avec soin elle n'est pas moins fiable que la moyenne. Comme on disait dans le Haut-Bugey, "le plastique c'est fantastique"... mais peut-être pas pour tout le monde.

La magie du SCCT... Comme c'était bien de retrouver les amis après deux ans d'absence, et d'apprécier une fois de plus la magie du SCCT qui sait maîtriser avec fluidité et décontraction une organisation pareille, y compris la météo contre vents et prévisions officielles: merci les organisateurs! vous êtes ceux qui font vivre la passion, et ce n'est pas toujours facile... Une fois de plus le temps a passé bien trop vite, d'autant que les pauses étaient mises à contribution pour essayer de résoudre les problèmes apparus lors du chargement de l'auto... un manque d'utilisation régulière de l'auto n'y est sans doute pas pour rien, sa sortie précédente étant à Michelin Ladoux. Mais avec la bonne ambiance des paddocks, la motivation regonflée et les pneus dégonflés, des bougies propres, nous avons fini par faire notre affaire d'un maître-cylindre un peu lunatique en pompant préventivement à l'approche des virages (une vieille lune de ces modèles «Fédéraux» avec un Girling tandem, cela m'était arrivé lors de la restauration il y a une dizaine d'années). Un circuit pas trop long que j'ai fini par mémoriser à peu près dans l'après-midi , le relief très agréable (en particulier pour ralentir quand on ne peut pas faire totalement confiance aux freins), pour finir par me prendre au jeu au point que mon copilote trouvait que j'avais perdu la notion du temps et ne revenais pas assez vite aux stands... quelques pirouettes au virage lent en seconde (j'espère que personne n'a été trop gêné... les coups de klaxon n'étaient pas non plus volontaires: faux-contact de la transmission de la masse par la colonne télescopique du volant, qui a du être repoussée un peu trop par un pilote enthousiaste). Une sortie très réussie qui m'aura remis le pied à l'étrier (de frein…) et relancé une motivation qui en avait bien besoin. Et une pensée à ceux qui n'ont pas eu de chance avec leur mécanique... merci les amis, merci le SCCT!

joli projet (aussi sur les anciennes) surtout s'il est vraiment complet et pas trop rouillé (décapages en cours laissés à l'air...), mais qui semble tout de même cher au vu des ventes des dernières années ...

merci pour ces bons souvenirs, même si teintés d'un peu de nostalgie désormais qu'une prochaine date reste hypothétique...

un ami qui y était (sur MGB) m'a rapporté quelques photos d'autos en plastique (mes préférées elle ne craignent pas la rouille, même s'il faut faire un peu attention avec les coups de chaud... ) ps: Bertand si tu lis ceci, tu as un message de ma part dans ta boite mail...

Merci à tous pour ce mémorable week-end ! Une météo SCCT, parfaite comme toujours (cela reste un mystère), une organisation bien huilée toute en souplesse et en efficacité, des participants que l'on retrouve à chaque fois avec grand plaisir comme si on les avait quittés la veille - c'est cela aussi la grande famille du SCCT, et un circuit 3bis inoubliable, tellement instructif... La journée n'a pas été sans quelques péripéties matinales , mais l'après-midi s'est passé sans une goutte (y compris d'huile - ou quasi) et nous avons pu en profiter jusqu'au dernier tour... ah ce 3bis je le regrette déjà, j'espère qu'il rouvrira un jour au commun des mortels, mais au moins j'ai eu la chance de pouvoir le découvrir, et j'en suis très reconnaissant à toute l'équipe du SCCT et en particulier à Franck pour avoir rendu cela possible. Merci ! Je n'ai pris que quelques photos et juste une petite video de loin au téléphone... histoire de pouvoir en parler lors des longues soirées d'hivers à venir, et se réchauffer en disant "j'y étais" Le line-up du matin Franck s’apprête à montrer à Olivier ce qu'on peut faire avec l'auto sur le sec... Le 3bis Ladoux 2022.mp4 et en conclusion l'arc-en-ciel (merci Olivier), annonciateur de lendemains qui glissent tout en restant sur la piste ?

cela me semble un peu cher ... pour en avoir eu une (serie 5, 1725 cm3), certes d'origine mais tout de même pas un monstre de piste, ni particulièrement légère ni puissante, plutôt une anglaise élégante et mieux finie que la moyenne de l'époque. Avec un V8 c'est autre chose...

une Griffith période F, très tentant ... mais en France elle sont un peu tenues à l'écart, non ? en particulier chez Peter Auto ... trop compétitives ?

Je viens de voir que la Lotus Elan de Régis, décédé en juillet, est à vendre chez Bauden Racing Cars : annonce Lotus Elan de Régis chez Bauden Racing Cars Ci-dessous à Magny-Cours ou il m'avait fait faire un tour mémorable du circuit club voici quelques années...

Merci, à tous, pour avoir su une fois encore faire vivre la magie du SCCT, les grands sorciers de l'organisation bien sur Cédric, Franck, et tout le bureau qui ont j'en suis sur beaucoup donné pour lubrifier la machine afin qu'elle soit opérationnelle le jour J, les amis toujours prêts à donner un coup de main - et ils ont été bienvenus pour diagnostiquer puis dépanner l'auto chargée à la poussette la veille, encore un coup de Lucas Prince of Darkness... en particulier Christophe, qui a dépassé vendredi sur l'autoroute mon plateau en venant lui dans sa Z260 - en parfait gentleman driver, et passé beaucoup de temps durant toute la matinée pour résoudre le mystère du connecteur intermittent, retirer un fil direct, et redémarrer gràce à son booster; merci aussi à Jean-Jacques pour le prêt d'une bobine ce qui a permis d'écarter cette piste, et à Claude et l'équipe de la superbe Mustang Bleue pour le fil et les cosses... la solidarité au SCCT n'est pas un vain mot, et tous les participants, c'est important de participer... pour savoir préserver l'esprit convivial et la bonne humeur, c'est l'affaire de chacune et chacun, et par les temps qui courent on en a bien besoin. La Lotus a donc pu contre toute attente profiter du 3bis tout l'après-midi, volant partagé avec Serge qui a enfin pu bénéficier de cette expérience rare à haute valeur pédagogique, et voudra sans doute revenir avec son auto pour approfondir... Juste un petit regret, l'absence de ComoAv8 pour défendre son titre du trophée Wolf, j'avais pourtant réussi à avoir de l'herbe jusque sur le toit lors d'une sortie dans la ligne droite du haut... à quand la prochaine ?

Le principe est la quantité d'énergie correspondant à un volume d'essence brulé donné pendant une durée donnée (certains "ricains" utilisent cela pour dimensionner leurs carbus et pompe à essence pour un flow max, souvent limité par les conduits et soupapes au régime max, mais aussi la vitesse piston, les contraintes sur la distribution etc). Au delà de ce que peut respirer un moteur on ne peut pas avoir plus de puissance en mettant plus d'essence (à moins de suralimenter, et alors on multiplie par le facteur de suralimentation, c'est le "mass airflow" max qui compte). Il y a des formules pour prendre en compte les diagrammes de distribution afin d'estimer ce que va donner un moteur (et des software de simulation qui prennent en compte une foule de détails, jusqu'au profils de soupapes etc pour donner des résultats assez précis selon les modifs que l'on envisage). Si la carburation est équilibrée (vérifiable à la sonde lambda) la quantité de carburant consommée max correspond à la puissance max. Ne considérer que le carburant reste bien sur approximatif et dépend des pertes de chaque moteur (frottements segments, paliers, cames soupapes etc), mais si on part sur un air/carburant ratio optimisé pour la puissance disons 13 (plus riche que l'optimum stoechiometrique de ~14.7) que l'on maintient quand le second carbu est installé, on peut remonter l'efficacité d'un moteur à partir de la puissance ou de la consommation: si mettre 2 carbus au lieu d'un permet de rentrer plus d'air au régime max alors la différence de consommation (et de puissance) avec les 2 carbus sera en proportion de la quantité d'air en plus qui sera rentrée (amélioration de l'efficacité du moteur par le changement de géométrie d'admission avec les 2 carbus sur pipe spécifique).

Si la carburation est équilibrée (pas trop riche), on peut faire la correspondance entre la puissance utilisée et la consommation en carburant par une formule (rien ne se crée, rien ne se perd...)