Franck_RS

Merci Dan ;)

J'ai fait un peu de ménage pour recentrer sur le CR de pouilly. Désolé pour ceux dont j'ai effacé des messages (GG, Gilles, Pat et Arno) mais vous êtes des habitués (du forum pas des messages effacés) et j'espère que vous ne m'en voudrez pas Pour ceux qui se poseraient encore la question de savoir avec quoi l'on peut rouler au SCCT nous avons fait un rappel récent sur l'esprit du SCCT que vous retrouverez ici:https://forum.scct.fr...iciper-au-scct/ et pour ceux qui souhaitent absolument parler Youngtimer ça se passe ici: https://forum.scct.fr...760-youngtimer/ sur ce bonne lecture du compte rendu de pouilly et un merci à Pascal pour cette excellente vidéo. Le point de vue est très original et ça rend vraiment super

Un proto dauphine avec des trains dérivés d'une scora (réalisé par Jacques Durand himself) du beau matos, à voir là: http://clubjidescora...e-proto-central

Un grand merci Cédric pour avoir fait ce montage, et un encore plus grand merci à Arnaud (alias Pastic) de m'avoir donné l'opportunitéde piloter cette auto...le genre d'opportunité qui ne se présente pas tous les jours. Le micro de la GoPro ne rend vraiment pas justice au Bel Cantodistillé par le V8. En live je vous assure que ça vous prend les tripes et ça donne forcément le sourrire....c'est vraiment addictif comme musique.En "bonus track" voici un petit film réalisé par Meïji depuis le bord de piste avec les commentaires de Pat en prime. ça correspond à la dérive à la sortie de l'épingle que l'on voit à 1'10 sur la vidéo embarquée. J'ai vraiment été agréablement surpris par l'homogénéité de l'auto. Il faut dire que celle de Plastic est comme son pseudo le laisse supposer une rare 308GTB vetroresina (fible de verre en italien). Cette version ne concerne que les 712 premiers exemplaires européen, avec pour particularité une caisse en fibre et le V8 3l (4 carbus weber 40DCNF) équippé d'un carter sec (les versions US étant en carter humide).Le gain de poids par rapport à la version acier est de 80 à 150kg selon les sources. Le poids réel de l'auto serait de 1200-1250kg (les 1090kg annoncé par l'usine étant un jeux d'écriture voiture à sec sans aucun lubrifiant).Toujours est il qu'avant découvrir l'auto dans un premier temps comme passager, je m'attendais à retrouver une de ces GT 70's-80's. A savoir une auto rapide mais avec un typage plutôt sousvireur (il s'agit de rassurer le client par temps de pluie) et avec ce défaut récurrent de brutalité à la limite (sous virage à l'inscription qui conduit à un survirage ample et peu progressif lorsque l'on transfère la charge sur le train avant).Et là surprise, l'auto est vraiment progressive dans ses réactions. Elle accepte de survirer légèrement avec un peu de charge à l'accélérateur en sortie de courbe. L'inscription est franche avec un bon phasage roulis / lacet, en un mot l'auto met en confiance d'entrée de jeux. le moteur se révèle souple à l'usage avec pas mal de couple en bas tout en montant avec allégresse jusqu'à 7000tr/min. Ce n'est pas non plus la déferlante de puissance à laquelle on s'attend dès lors que l'on évoque le cheval cabré, il n'y a qu'à voir comment alpa nous dépose avec son A310 grIV dans la ligne droite.Côté freinage elle s'en sort avec les honneurs même si à la fin de la session on commençait à avoir un peu de broutement. La boite nous offre le tintement de sa myhtique grille, les verouillage sont fermes, mais elle reste lente, particulièrement sur le retrogradage 4=>3. Enfin la démultiplication volant est élevée obligeant à brasser pas mal de volant, en paritculiers dans la partie lente de la piste très sinueuse. A contrario, malgré l'absence d'assistance la direction n'est pas camionesque et la perception des efforts au train plutôt bonne.les tours s'enchainnent avec plaisir et la confiance monte, dans le sinueux le train avant demande grace et l'on en vient à demander plus de grip. A cette remarque Arnaud me rapelle que les pneus ont un certain âge....ah bon? A la fin de la session on jette un coup d'oeil aux enveloppes....verdict: janvier 1988...ah quand même!!Des pneus de 1988, une auto dans un strict état d'origine (et quel état...incroyable pour son âge), et au final une prestation vraiment bluffante sur piste. Assurément la base est bonne et je comprends mieux les succès de la version grIV en rallye. Je serais curieux de revoir la vetroresina de Plastic, chaussée de pneus récents et sur un circuit rapide type Lurcy Lévis...il y aurait probablement de belles images!

toutes les bonnes choses ont une fin, y compris les séries de photos: le fameux gateau du compte rendu: vues du "camp de base" On a expliqué à Alex que Ferrari aussi avait fait des autos en fibre....il est venu voir par lui même si ça ressemblait à sa rochdale ou non: et voilà!

presque fini:

encore: pat se lache

la suite:

J'ai fait quelques photos depuis le bord de piste en fin d'aprem, donc je n'ai malheureusement que les participants qui étaient en piste à ce moment là. Désolé pour les autres Une première série la boite de petits pois la plus rapide de l'est Mon ancienne cortina ;) , bravo JP Pat dans ma 2002....au final je crois qu'elle aura fait plus de tours avec les frangins RS qu'avec moi au volant ;) a suivre

soit dit en passant si moi aussi j'avais une collection de blondes pulpeuses comme sur la photo je n'en parlerais pas à madame, c'est sur! ;)

Voici le compte rendu "officiel" de cette très belle journée. Nous avons essayé tant que possible de retranscrire l'ambiance de cette journée pour ceux qui n'y étaient pas. Il sera bientôt diffusé sur newsclassicracing.com entre autre. Encore quelques vidéos et photos à venir L’hiver fut rude, mais mis à profit par tout un chacun pour affûter la mécanique. Cette première sortie est un peu le printemps de nos autos, et pour certains il aura fallu faire preuve de pugnacité pour ne pas rater ce premier départ. Tel Flavien qui changeait in extremis (la veille !) le joint de culasse de sa mini 1330 et prenait la route non sans une certaine appréhension. Pour beaucoup le plaisir d’une journée circuit commence par le trajet, et l’on croisait ça et là des convois d’anciennes convergent toutes vers la Bourgogne. Au SCCT on roule souvent «à l’ancienne», on vient par la route, on fait parler les chevaux sur la piste et l’on rentre par le même chemin. Et si il y avait une panne grave me direz-vous? Pas d’inquiétude, l’esprit d’entraide et de convivialité joue à plein et il y aura toujours une solution de trouvée sur place. Et comme convivialité rime avec partage c’est dès le samedi soir que se retrouvait nombre de participants pour festoyer ensemble. Tôt le lendemain le soleil brillait déjà sur l’asphalte du circuit de l’Auxois Sud, mais un vent frais allait rafraîchir les idées des concurrents. Le briefing permettait de rappeler les règles essentielles de sécurité mais aussi les fondamentaux de nos sorties : «respect des autres et plaisir». Et le message est partagé de tous puisque de la journée on ne déplorera pas le moindre incident, même mineur. Tout se déroulera dans un ballet fluide et continu permettant à tous les pilotes de profiter pleinement de la piste et de leurs montures. Le circuit de Pouilly se compose d’une ligne droite terminée par un droite rapide dans lesquelles les plus grosses cylindrées seront à leur avantage. Et elles ne se priveront pas de faire montre de leur puissance dans cette portion : Alpine A310 groupe IV «Calberson», Datsun 240Z sauce Samouraï, Alfa GTV6 Production et même une rare Ferrari 308 GTB «Vetroresina». Mais ne pensez pas pour autant que les petites cylindrées leur laisseront le champ libre, car le seconde portion, tortueuse et technique à souhait est le royaume des autos légères et agiles. Si vous parvenez à garder le contrôle dans le premier gauche en dévers (et l’on en a vu de belles images dans celui-ci), il vous faudra alors composer avec un enchaînement de trois courbes à plus de 180°. C’est ici que les Mini font état de leur maniabilité légendaire, imitées voir même surpassées par l’efficace Audi 50 alias «la boite de petit poids». Mais il n’y a pas que les tractions bien affûtées qui soient à leur aise dans le sinueux. Les filles d’Hethel aussi se jouent des difficultés la XI (Westfield) jouant au chat avec la Seven S4. Le SCCT c’est aussi une terre de contraste où la Cortina GT de série, venue par ses propres moyens, côtoie avec bonheur son homologue ultra affûtée venue comme une diva sur son plateau. A l’épingle, les Golfs GTI nous régalent de leur mythique levée de patte arrière, tandis qu’au loin on perçoit un son gutural et inhabituel. C’est le compresseur Sprintex de la Datsun 280ZX «IMSA spirit» ! Et les surprises ne s’arrêtent pas là, père et fils partagent tantôt une rarissime Alfa junior Z, tantôt un coupé BMW 2002 Touring. Du côté des allemandes la production BMW des 70’s fait montre d’une belle générosité dans l’effort, trains arrières baladeurs et joyeux contre braquage sont au menu. La Simca 1100 (oui oui !) ferraille dur avec la Triumph 2000, alors que MG et Manta nous font le coup de la panne…. bref il y en a pour tous les gouts. Mais le plaisir d’une journée circuit c’est aussi la convivialité en bord de piste. A la pause les plateaux se transforment en immense buffet ou chacun vient partager ce qu’il a préparé. Les conversations passionnées succèdent aux éclats de rire. On entend même certain entonner un «joyeux anniversaire» tandis qu’un magnifique gâteaux régale les gourmands, et ce n'est pas Louis Quiniou qui vous dira le contraire. Le co-organisateur du GPAO nous faisait le plaisir de se joindre à notre joyeuse équipe au volant de sa Mini. Et le mot de la fin alors ? il vient de cette simple observation : partout dans le paddock on pouvait voir pères (ou mères) et fils (ou fille) ensemble unis dans une même passion. Certains partagent le même volant, co-organisent, jouent les sacs de sable en attendant le permis, inaugurent leur première auto et d’autres enfin enrichissent leur tout jeune vocabulaire avec «Porsche, Mini, BM… ». Toujours est-il que aujourd’hui encore, comme dans les 60’s & 70’s, la belle automobile reste un objet de passion, de partage et de rêve. Si vous aussi vous souhaitez goûter à l'ambiance "gentlemen drivers" de nos sorties SCCT rejoignez nous le 13 Octobre prochain à Magny-Cours Club et sur https://forum.scct.fr Et merci à Roby pour les photos ;-)

why not...je te redis ça pascal

à l'attaque! comme toujours :)

je ne savais pas que clément avait une mini sprint :)

Après avoir nous aussi profité des charmes de la Bourgogne une journée de plus nous voilà de retour dans nos pénates. Le premier grand merci je tiens à l’adresser à Alex, Jacky , Jean No et David qui ont à eux seuls assurés notre sécurité et régler à merveille le balais de nos entrées-sorties. Pas un accro, tout à été fluide…un rêve ! Cela demande une bonne dose de patience et d’abnégation, sans vous il n’y aurait pas eu tous ces sourires au cours de cette journée…encore une fois mille merci. Le second coup de chapeau il va à l’ensemble des pilotes qui ont fait preuve d’un fairplay en piste exemplaire. Nous l’avions rappelé au briefing le matin, l’essence même du SCCT c’est le plaisir de rouler et le respect des autres. A aucun moment nous n’avons vu de comportements inappropriés, et pour nous organisateurs c’est un élément clés de notre motivation. Ça n’a pas empêché les plus rapides d’envoyer du «très lourd » et que ce soit depuis la piste ou les paddocks c’était beau à voir. Il n’y a pas de journée SCCT sans grand moments de convivialité, et je peux vous assurer que le buffet (ou plutôt banquet devrais je dire) que nous avait préparé Phil_RS était un très grand cru. Il y a d’ailleurs eu affluence autour du plateau de la 323 pour notre plus grande joie à tous. A propos de 323 il s’agissait là de son baptême de piste. La petite nouvelle semble bien née mais il sera nécessaire de lui donner un peu de train avant pour qu’elle aille croquer la RS2000 de Pat…Sacré Pat qui nous faisait l’immense surprise de troquer son habituelle fusée de Dagenham contre une fille de Poissy. Quelle allure que cette simca 1100s, de pure série, avec pour seule modification un set de TB15 hors d’âge. Encore une preuve, si il en fallait une, que toutes les autos 60’s & 70’s ont leur place au SCCT et ce quel que soit leur niveau de préparation….ce qui compte avant tout c’est l’état d’esprit. Et s’il en est un « petit nouveau » qui a le bon état d’esprit c’est bien Arnaud (alias Plastic) qui nous a rejoint pour sa première sortie au volant d’une auto qui elle aussi tâtait de la piste pour la première fois. Et qui aurait cru que la magnifique et longiligne Ferrari allait se révéler aussi à l’aise sur l’asphalte tortueux de Pouilly. Arnaud j’ai pris beaucoup de plaisir à partager ces quelques sessions avec toi et rdv est donné sur un circuit plus roulant où ta belle modénaise devrait être plus à son aise. Enfin je ne sais comment te remercier pour ces deux sessions au volant de cette légende. La bonne nouvelle c’est que la Go Pro a très bien fonctionné et je pense que vous apprécierez tous les images et surtout la bande son. J’ai pris mon pied ce soir à revisioner le film sur la télé. Et je vous laisse imaginer le choc culturel en passant de la 308 à la XI. Deux mondes, deux philosophies de la sportivité et deux plaisirs aussi incomparables que plaisant. Au final impossible de choisir entre les deux bien sur, sauf à demander d’avoir l’agilité de la XI dans le serré, l’allonge et la stabilité de la ferrari dans le rapide…. Un WE comme celui ci c'est aussi l'occasion de faire de nouvelles rencontres comme avec Louis qui nous ammène sa touche personnelle de convivialité de de passion.et Ça sera un de mes regrets du WE à savoir de ne pas avoir pu partager une ou deux sessions ensemble. Une fois de plus c’est la tête chargée de souvenir que l’on retourne au quotidien. Merci à tous pour vos sourires, votre combativité en piste et votre passion communicative. Le SCCT est le reflet de ce que chacun y apporte….et si c’est plaisant c’est grâce à vous. PS: photos et films à venir plus tard.

C'est sans intérêt l'échangeur sur un atmo. Dans un atmo tu aspire l'air extérieur à température ambiante. l'échangeur utilise l'air à température ambiante pour essayer de refroidir des gaz réchauffés donc au mieux les gaz injecté seront à la tempé de l'air extérieur....donc aucun gain. Sur les turbo et compresseur on vient comprimer de l'air frais, le problème c'est que physiquement lorsque l'on comprime un gaz il s'échauffe. On cherche donc à le refroidir au maximum pour augmenter sa densité en phase d'admission tout en gardant la même pression.

et le rapport poids perf de la XI avec tous ces trucs!!!! mais où vas t on?!? PLus sérieusement avec la radicalisation des normes environnementales on sera de plus en plus contraint sur ce genre de chose qu'il s'agisse d'un petit ou d'un grand circuit

là je fond carrément! c'est vraiment une auto a part que la 1000TCR

y'en a un qui fait du teasing pour le prochain bulletin (de manière indirecte certe). :D Belle trouvaille en tout cas

je crois savoir alors :D

Allez phil lache un peu d'info :D Pointue à piloter, là tu m'intéresses. Faut que j'amène quoi comme matériel pour la régler??

pas tout à fait les deux Alex, c'est session par groupe le matin, et sessions open l'aprem (sans notion de groupe). Sachant qu'à Magny ça c'était fini en open tout court ca moins d'assuidité l'aprem

ça fait une belle durée de roulage....on va se faire plaisir!

vite!! http://www.leboncoin.fr/voitures/300077211.htm?ca=12_s

Marcel du FROCC est en train de refaire une Dolomite 1850 pour nous rejoindre sur piste. C'est la même que la sprint mais avec la culasse 8s. Voici une vue du train AR déposé: C'est quand même assez chiadé pour un pont rigide avec deux bras longi sur lesquels sont montés les combinés (ça évite de faire flamber le pont lui même), les bras transverses et la barre antiroulis. Malgré tout je pense que ce montage est à la fois trop contraint et insuffisament miantenu en transverse pur. ça explique probablement pourquoi l'auto avait une attitude un peu capricieuse et le même train refait, remonté. Il bosse bien le marcel.